«La mise en oeuvre de l'Acte unique exigeait d'importantes mesures budgétaires. Les pays les moins développés de la Communauté n'avaient accepté le grand marché qu'à condition de recevoir une aide qui leur permette d'adapter leurs structures à la concurrence. Le renforcement de la cohésion économique et sociale de la Communauté passait par la réforme des fonds structurels. D'autre part, il s'agissait de trouver l'argent (...) et de mettre fin à la guérilla budgétaire avec le PE» (in "La Construction de l'Europe" par P. Gerbet, p. 435, Paris, 1994).