CSM a été membre du gouvernement à deux reprises. La première fois au sein du gouvernement Fanfani (février 1962-juin 1963) où il détint le portefeuille de sous-secrétaire d'Etat à l'Education publique, la seconde fois dans le cabinet Leone (juin-décembre 1963) où il occupa les fonctions de sous-secrétaire d'Etat à la Justice
On notera la présence dans cette série de documents ayant trait à l'affaire INGIC qui opposa CSM, alors en charge de la Justice, au journaliste Indro Montanelli, lequel s'était fait l'écho dans une revue d'accusations infondées impliquant CSM dans une 'affaire' de corruption politique. La magistrature, saisie, rendit justice à CSM par une sentence qui condamna les accusations lancées à son encontre et le lava de tout soupçon.