Comme au niveau parisien le fédéraliste J-M. Martin parvient au poste de vice-président de l'Union nationale des combattants (UNC) créée dès 1918 sous l'égide du général Clémenceau, A.-M. Gordiani occupe également ce créneau au plan régional. Il est élu secrétaire général du groupe UNC du Rhône. L'association lutte contre la défaillance de l'esprit civique.
Le MNEL/Rhône-Alpes, géré par A.-M. Gordiani, est l'instrument d'action auprès des élus locaux. Il tente de lutter contre les municipalités communistes (Villeneuve-Saint-Georges, Vaulx-en-Velin, Grigny) en diffusant un bulletin. Il promeut des jumelages communaux entre métropole et Afrique noire et au début des années soixante, il monte des parrainages de communes algériennes par des communes métropolitaines pour renforcer les liens de solidarité et sensibiliser l'opinion.